Le Mystère des Croix Rouges
14.99€ – 18.99€ TTC
Avec ce roman haletant, qui a pour cadre la Lorraine qu’il connaît et qu’il chérit, Patrice Bord nous montre qu’il maîtrise parfaitement les codes du roman à suspens.
Résumé :
Mais où est donc passé Cédric Bonin, le talentueux et taciturne installateur de SécurEst à la parole rare et au caractère trempé ? Que cache Nathalie Pierret, la libraire, que même son fils Tristan ignore ? Pourquoi le couple Maujean est-il si mal assorti ? Et surtout, qui vient rageusement barrer d’une croix rouge des maisons dans l’agglomération de Metz ?
Ce sont tous ces lourds secrets que va devoir dénouer Évariste Francoeur, l’inspecteur chargé de l’enquête. Il sera bien aidé en cela par la bienveillance de Laura, son épouse, et par la sagacité d’Amandine, sa fille de quinze ans. Comme quoi, la valeur n’attend pas le nombre des années.
Avec ce premier roman haletant, qui a pour cadre la Lorraine qu’il connaît et qu’il chérit, Patrice Bord nous montre qu’il maîtrise parfaitement les codes du roman à suspens.
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Poids | 200 g |
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Auteur(s) | |
Date de publication | 03 Mars 2023 |
Langue | francais |
Editeur | Ilion Editions |
ISBN-13 | 978-2-38290-099-4 |
Nombre de pages | 267 |
Ebook | Ebook |
Livre Papier | Livre Papier |
Format de mon livre | Livre papier, Ebook (Epub) |
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Informations sur le vendeur
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- Auteur : Ilion éditions
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Le Bonheur Au travail – Dominique Glocheux- Monsieur Bonheur
Extrait de la préface du livre “Le Bonheur au Travail” :
« Les sept nains de Walt Disney ont beau siffler en travaillant, ils ne seront bientôt plus que six dans la mine. Chômage, temps partiel, RTT, restructuration, «outplacement», préretraite, les occasions de ne pas travailler se multiplient. Nous travaillons déjà SIX FOIS MOINS que nos arrières grands-parents (cf. calculs dans la postface) : le travail remplissait 70 % d’une vie, aujourd’hui seulement 12. Et ce n’est pas fini. Jeremy Rifkin se risque même à annoncer pour bientôt La Fin du travail. En attendant, c’est plutôt le « travail sans fin » qu’on découvre ; avec appels des collaborateurs sur le téléphone portable à tout moment, donc à tout endroit, jusqu’au domicile, pendant les transports et parfois même en vacances. Sans compter d’autres « fils à la patte » qui deviennent parfois autant de boulets à traîner, comme le micro-ordinateur portable qui permet de travailler partout, si performant quand il est relié ADSL au réseau de l’entreprise, mais qui lui aussi fait voler en éclats les frontières physiques ou temporelles. L’entreprise n’a plus de frontières, le travail n’a plus de frontières : on travaille partout, on travaille tout le temps. Le temps de travail n’est plus lié à la présence sur le lieu de travail. Le travail ne nous quitte plus. On vit en apnée, «en veille», incapable de débrancher. Résultat : un travail pesant, stressant, difficile à vivre, qui fait mal. Qui donc de nos jours songerait encore à faire l’éloge du travail ? Cet éloge ne nous parle plus. Il est trop près du Discours de la servitude volontaire de La Boétie ou de la complicité dans l’aliénation générale de Marx.
Le travail était parfois pénible, ses applications industrielles Comment réinventer le travail ? Du fond de son jardin, Candide nous crie la sagesse des nations : « Le travail éloigne de nous trois grands maux : l’ennui, le vice et le besoin ». Comme par hasard, les trois manquements d’être. Le travail donne de l’ordre et du sens. Sans un minimum de travail, nul bonheur possible. Quelles que soient les tentations et possibilités offertes par la technologie, il faudra donc instaurer un équilibre responsable entre Sisyphe et Amphion. Entre le mythe de Sisyphe condamné à pousser éternellement sur la pente d’une montagne un énorme rocher qui retombe toujours avant d’atteindre le sommet. Et le mythe d’Amphion, l’homme seul qui, au simple son de sa lyre, invitait les blocs de pierre à se déplacer par eux-mêmes et à s’unir pour former les murailles de Thèbes. Entre le travail éternel dans la peine et la douleur, et le loisir intégral. Entre les efforts pour racheter ses fautes, et l’irresponsabilité la plus totale. Entre mériter la jouissance du monde, et en disposer comme un vandale. On rêve d’un équilibre où le travail serait certes à nouveau une obligation, mais librement consentie et plus féconde et noble que jamais. Où bonheur rimerait même avec labeur. » -
Le Bonheur Au Quotidien
Manuel pour apprendre à être heureux, avec quelques conseils simples et qui peuvent changer votre vie.
Auteur: Bella Spezzi
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